Dalida, l’amie d’une vie

Les enfants du Pirée, (en grec), une de mes chansons préférées

Πώς ήθελα να έχω ένα και δύο
και τρία και τέσσερα παιδιά
που σαν θα μεγαλώσουν όλα
θα γίνουν λεβέντες για χάρη του Πειραιά

Όσο κι αν ψάξω, δεν βρίσκω άλλο λιμάνι
τρελή να με ‘χει κάνει, όσο τον Πειραιά
Που όταν βραδιάζει, τραγούδια μ’ αραδιάζει
και τις πενιές του αλλάζει, γεμίζει από παιδιά

Τα παιδιά του Πειραιά (Ta Pedià tou Pireà) du film Ποτέ την Κυριακή (Poté tin Kyriakí) (Jamais le dimanche, Never on Sunday).

Photos inédites

Les enfants du Pirée (version française)

Paroles de Jacques Larue, musique de Mános Hadjidákis, orchestre de Raymond Lefèvre — Dalida a été la première à interprété la version française en 1960 — Beaucoup d’autres artistes la chanteront à sa suite.

Noyés de bleu sous le ciel grec
Un bateau, deux bateaux, trois bateaux
S’en vont chantant.
Griffant le ciel à coups de bec
Un oiseau, deux oiseaux, trois oiseaux
Font du beau temps.
Dans les ruelles d’un coup sec
Un volet, deux volets, trois volets
Claquent au vent,
Et faisant une ronde avec
Un enfant, deux enfants, trois enfants
Dansent gaiement.
Je rêve aussi d’avoir un jour,
Un enfant, deux enfants, trois enfants
Jouant comme eux.
Le long du quai flânent toujours
Un marin, deux marins, trois marins aventureux.
De notre amour on se fera
Un amour, dix amours, mille amours
Noyés de bleus.
Et nos enfants feront des gars
Que les filles, un beau jour,
À leur tour rendront heureux.

Mon Dieu que j’aime
Ce port du bout du monde
Que le soleil inonde
De ses reflets dorés.
Mon dieu que j’aime,
Sous les bonnets orange,
Tous les visages d’anges
Des enfants du Pirée.

Dalida, Orlando et Jean-Claude au Palais d’Hiver, à Lyon, en 1960

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